Je peux faire

Ici je vais vous décrire ce que je peux faire de manière pragmatique. La page d’avant c’était la compétence, donc ce que je sais faire en termes d’outil. Là je vous donne des exemples d’application, de ce que j’ai fait et aime faire.

Les migrations : alors là, c’est ce que j’adore. Prendre un environnement, que ce soit un environnement technique, logiciel, organisationnel et aller vers un autre. Donc cela veut dire, faire une analyse préalable en prenant en compte les impacts, les coûts potentiels, les risques. Planifier tout cela, mettre au point les Task Force. Ensuite, suivre la chose, accompagner les gens, et faire en sorte que tout se passe bien.

Le génie logiciel : deuxième point que j’adore, la création de logiciel From Scratch. Aller vers l’utilisateur, recueillir son besoin, analyser les choses et préparer les spécifications à destination des équipes de développement. Préparer le cahier de recette avec les tests, les détails de bugs et faire les aller/retour de correction avec les équipes de développement.

La statistique : préparer des tableaux de bords, mettre au point des observatoires (l’Observatoire de l’Immobilier de la FNAIM, c’est moi !), mettre en œuvre des KPI. Tout ce qui touche de près ou de loin à de la manipulation de données pour en sortir des courbes, des graphes, des tableaux récapitulatifs, j’adore.

Voici les trois sujets qui me font le plus vibrer et que j’aimerais vraiment faire. Après, de la conduite de projet me convient très bien aussi. Je ne fais qu’exprimer un désir pas une exigence. Nous verrons dans la prochaine page les domaines d’activité.

Mais avant de passer à la suite, je voudrais dire aussi :

  • Je me sens également capable d’être DSI dans une petite structure. Je pense que j’ai l’âge et l’expérience pour assurer ce genre de fonction et cela ne me déplairait pas.
  • Je suis également parfaitement capable de faire du consulting. J’ai quelques domaines dans lesquels je suis assez fort, tel que l’architecture Web, les outils collaboratifs ou encore SWIFT.
  • Le titre de Business Analyst ne me fait pas peur, c’est juste que, en général, les gens vont mettre ce terme parce que le salaire est moins important. Mais je trouve que c’est le même métier que Chef de Projet MOA.
  • La position de PMO me plairait aussi, mais pas le PMO qui traite la gestion des projets de manière triviale ; plutôt le PMO qui est au-dessus de la mêlée et qui a une vision d’ensemble des projets de l’entreprise et qui est garant de la bonne convergence des choses.